Ambassade des adeptes

bonjour à vous, j aurais voulu savoir s il serait possible d avoir une petite pièce pour nos discussions privées Very Happy

Aussitôt demandée et aussitot obtenue

soyez le bienvenue ici seigneur

merci bien !!

je m y rends de suite pour amener mon bureau Very Happy

Mes salutations seigneurs,

je me nomme Melkian Corvinius et viens à vous en qualité d'ambassadeur des Adeptes de Dionysos, pour prendre la relève du sieur Jebilo.

Je ne viens bien sûr pas les mains vides, si je puis m'exprimer ainsi, j'ai des choses à discuter avec vous, pourrions-nous en parler en privé ?

Respectueusement.

De bien grandes courbettes messire pour un présentation.

Une question me taraude, avez vous déplut aux dyonisos ou perdu à la courte paille pour être ambassadeur chez nous?

En fait, je pense que votre jeunesse ne vous permet pas de mettre un caractère sur mon nom et celui des administrateurs, bien que l'un fricote avec un lécheur de salade. C'est très vil seigneur Jebilo Very Happy

En attendant confirmation de votre qualité de diplomate asseillez vous, seuls la taverne et le chemin pour la sortie vous seront autorisée

L'ambassadeur laissa un sourire amusé se dessiné sur son visage tandis qu'il prennait une chaise pour s'y assoir, la retournant pour poser ses coudes sur le dossier.

Au risque de vous choquer messire, ce ne sont ni une défaite à un jeu de hasard ni une punition religieuse qui sont à l'origine de ma venue, j'ai été volontaire pour être détaché auprès de votre guilde, entre autres.

Vous comprendrez pourquoi en temps voulu, pour l'heure, puisque visiblement nous allons passer un bon moment ici à nous regarder dans le blanc des yeux, prennons donc un verre tous les deux, cela passera le temps.

Le visiteur farfouilla dans la bourse à sa ceinture pour y chercher quelques pièces et les lança au tavernier, tournant le visage vers lui.

Un thé pour moi et sa boisson habituelle pour mon hôte s'il vous plait.

A nouveau il reporta son attention sur son interlocuteur.

Mais dites-moi donc, messire, quel est votre nom ? Il m'en dira peut-être plus...

L'homme que le seigneur Corvinius venait de prendre pour le tavernier n'était qu'une personne comme les autres venant se prendre quelque chose à boire.

Aragor se leva et passa à son tour derrière le bar pour prendre les commandes, se contentant de prendre un café. Revenant vers la table, il reposa les pièces devant l'ambassadeur.

Ici, il n'y a pas d'assisté, si on veut quelque chose, on se lève et on va le chercher. De plus, on a beau être une petite guilde, on a les moyens, dans les caisses de la guilde ou de nos cités, de ne pas avoir besoin de faire payer pour réccupérer quelques piécettes.

Mon nom est Aragor, Noble fondateur de la cité de Minus Morgul qui est désormais aux mains d'une noble Dame pendant que je prend ma retraite. Il me semble que mon nom figure toujours sur les registres.

En tout cas, vous avez fait fait le choix de la tranquillité en demandant de travailler avec nous, deux possibilités, soit vous m'indisposerez et vous repartirez avec mon pied au cul, soit vous ferez votre boulot ce qui devrait vous prendre grand maximum, quelques heures sur toutes une saison. Pas des grands bavards par ici

alexender passant par la taverne remarqua un invité inhabituel, alexender resta hors de portée de vue de ce dernier pour l'écouter un peu

bonjours aragor, tiens un nouvel ambassadeur, le faite d'etre volontaire me porterai a croire que vous etes suicidaire.

je me presente seigneur alexender, dirigeant la citée de zionis. je pense que vous aurez surtout a faire a moi pour la diplomatie.

L’ambassadeur s’était levé à son tour pour passer derrière le comptoir et prendre ce qui lui fallait pour se préparer un thé. Il avait disparu derrière le bois pour farfouiller à la recherche d’une tasse et d’herbes.

En effet votre nom figure dans les registres, si j’ai bonne mémoire. Vous faites honneur à votre réputation.

Il se releva, réapparaissant à la vue de la salle, avec ce qu’il désirait en main. Laissant l’herbe infuser il revint s’installer sur sa chaise, de la même manière qu’avant. Il ne semblait pas plus nerveux qu’avant.

Parler pour ne rien dire n’est bon que pour obtenir des clés ou faire parler un ivrogne, pour le reste…

Il laissa sa phrase en suspend, écoutant la nouvelle personne s’adressant à lui en demeurant cachée. Il jeta un œil à sa tenue, un air étonné se peignant sur son visage un instant avant qu’il ne redevienne froid.

Melkian Corvinius. Puisque nous allons avoir à travailler ensembles, ne soyez pas timide, montrez-vous.

Attendant que l’intéressé ne sorte à la vue de tous il reporta son attention sur le premier seigneur.

Je vais vous rassurer tout de suite. Vous ne m’aimez pas, je ne vous aime pas, et cela ne m’empêchera pas plus que vous de dormir. Je suis là en tant qu’ambassadeur, pas en tant que touriste ou courtisan.

Il tira la petite poche à herbe de sa boisson et la pressa pour l’essorer et en tirer les derniers arômes.

Quant à savoir si je suis suicidaire, encore une fois vous comprendrais mes raisons le moment venu, soit lorsque nous serons en privé et que d’autres oreilles indiscrètes ne pourront plus entendre nos paroles.

vous ne nous aimez pas, c'est dommage pour vous on est charmant pourtant

alexender ne peut s'empecher de dire cette remarque sur un ton hironique.

puis alexender alla se chercher un jus d'orange derriere le comptoir, ensuite il s'assit pas loin d'aragor devant le pseudo ambasadeur

mais je vous previens que si on ne vous aime pas. Oui!! ca pourrait vous empecher de dormir .

mais bon on verra ca en temps voulu

Jebilo etait arrivé dans la taverne quelques minutes avant le début de la conversation, et se régalait de voir la tournure que celle ci prenait ...

il etait adossé plus loin dans la taverne, tel un ivrogne, s'étant entouré d'un grand manteau qui couvrait ses traits ... et sirottait tranquillement une boisson alcoolisée

L’ambassadeur répondit sur un ton amusé, sans moquerie dans la voix toutefois.

Charmants, oui, c’est le mot. Il faut croire que je ne dois pas être sensible à cela !

Il porta la tasse à ses lèvres pour savourer une gorgée avant de poursuivre.

Ne vous souciez donc pas de mon sommeil, vous ne parviendrez pas à votre but….

Le visiteur jeta un œil dans un coin, apercevant un clochard, et fit une moue avant de poursuivre sur un ton bien plus sérieux.

… Vous pouvez me menacer, cela ne me fera pas renoncer à cette ambassade… Je ne l'ai pas choisie par hasard...

MAis ne voyez absolument aucune menacedans mes paroles, vous savez ous sommes pacifiste ici.le but premier de cette guilde est que ces membres jouissent de conseil et de soutient pour develloper au mieux leurs citées. et de la protection des puissants.

alexender sembla penser ces paroles, jetta un regard a l'homme dans la taverne, puis continua

vous nous avez choisi! tres bien commencer par nous dire pourquoi puis nous aviserons pour savoir s'il on vous accepte comme ambassadeur

Un employé du Havre vint glisser quelques mots à Aragor puis le seigneur chercha une clé dans ses poches pour la jeté à Melkian.

Jebilo a confirmer votre statut, voici la clé de votre ambassade.

Sinon comme l'a dit le seigneur, enfin, le nobliaux Alexender, la guilde est pacifique elle ne menace pas. Et c'est encore moins le cas de la part des quelques Maraudeurs qui sont parmis nous, les menaces ne sont que pertes de temps, les paroles montrent moins bien la détermination que les frappes.

Alexender? Que devient ce cher numerosix?

Aragor se mit à rigoler avec le sadisme dont il pouvait faire preuve à l'évocation des plusieurs milliers d'ames éteintes à cause d'une provocation mal placée. Avez vous prévu que Jebilo vous assiste? Si c'est votre première ambassade, il est possible d'avoir besoin d'un léger soutient, nous sommes succeptible par ici

L’ambassadeur resta un instant silencieux après les dernières paroles de celui qui s’était présenté comme son homologue. Il semblait attendre quelque chose qui ne vint pas, puisqu’une nouvelle tête entra dans la pièce, venant porter un message au premier qui l’avait accueillit. Celui-ci fouilla dans sa poche et en tira une clé qu’il lui lança. Le jeune noble la rattrapa d’un geste vif et la glissa dans son manteau.

Je n’ai pas prévu que Jebilo m’assiste, quant à savoir s’il le fera je n’en ai pas la moindre idée.

Il termina sa tasse de thé et se leva pour passer derrière le comptoir, retroussant ses manches pour la plonger dans une petite bassine d’eau, et entreprit de la laver alors qu’il continuait de converser.

Si je compte bien vous êtes pour l’heure ma quatrième ambassade, et je progresse sans cesse dans l’art de vexer mes hôtes, j’ai bon espoir qu’une guerre éclate entre nos deux guildes avant la fin de l’année grâce à ma simple venue en ces lieux, espoir nullement motivé par ma prime si j’y arrive, bien sûr…

Il sortit la tasse propre de la bassine et la sécha dans un chiffon qui trainait par là, puis il la remit en place là où il l’avait prise avant de réajuster son manteau. Il tâta machinalement sa poche pour y sentir la clé.

Je compte sur votre susceptibilité et votre pacifisme pour me facilité la tâche à ce sujet !

Il plaisantait, bien sûr, dans toutes ses paroles, il avait tendance à être quelque peu cynique parfois. Le fait que ses interlocuteurs aient du caractère n’était sans doute pas étrange au fait qu’il se sente dans son élément en ces lieux. Il se dirigea vers la sortie en songeant avec amusement à leur notion de pacifisme.

Nous nous recroiseront dans l’ambassade. Bonne fin de journée mes seigneurs.

Avant qu'il ne quitte la taverne, Aragor lança à son invité.

Désolé de vous décevoir mais il n'y aura pas de guerre entre nos guildes, nous préférons les duels et l'honneur qu'il en découle pour le vainqueur et le vaincu, aux vulgaires frappes de bourrins qui ne ressemblent à rien

un messager arriva dans la taverne, se dirigea vers alexender

votre rapport de la cours! seigneur
A ces mot alexender se retourna prit la missive lui etant destiné puis tendit une bourse d'or au messager qui reparti sans piper mots de plus

bon ba étudions ce qu'il se passe de beau au palais

et alexender se plongea dans la misive

Aragor regarda l'administrateur du Havre.

Tiens, t'as apprit à lire ou ton messager à tout traduit en dessin?

alexender finit de lire avant de relever la tête vers son fondateur

tu m'as appris a me battre peut être tu aurais aussi pu m'enseigner l'art de l'économie mais en ce qui concerne la lecture je n'aurai pas pu compter sur toi!! c'est au GPA que j'ai appris, sur leur texte sacré.

le vagabond se leva une fois l'ambassadeur sorti ...

Que se passe t il de beau à la cour, mes seigneurs, à part mes prises de bec courantes avec les grands de ce royaume ?

Les grands du royaume, j'espère que vous ne parler pas des ridicules légendaires tout de même?

ce n'est que ca! vous savez bien la cours est assez routiniere, il faut toujours que les legendes se disputent avec quelqu'un

non je parlais des valets Very Happy

ces légendaires se disputent avec quelqu un ... voilà qui est fort surprenant Very Happy

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